Peut-on découvrir une ville à travers ses orgues ? Cet Orgue dans la ville veut mettre en lumière un patrimoine aussi riche que méconnu, témoin de l’évolution d’une cité dans ses dimensions culturelles, architecturales, sociales et religieuses. Par l’essai d’un inventaire exhaustif de tous les instruments qui ont un jour marqué l’histoire de Marseille et sa région, depuis le xiiie siècle, l’orgue y dévoile ses entrailles, ses composantes, ses fonctions, ses symboles, ses mutations. Un glossaire technique (...)
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Arts
Articles
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L’orgue dans la ville
1er octobre 2004 -
Villissima !
1er juillet 2015, par VaroujanVillissima n’est pas, loin s’en faut, le premier ni sûrement le dernier des ouvrages à aborder la relation de l’art et des artistes à la ville. Mais tandis que la thématique urbaine est généralement abordée par les arts d’une manière tourmentée, soulignant sa dimension problématique, les artistes empruntent ici des chemins plus lumineux, où l’enthousiasme se mêle au plaisir du jeu. Pas d’état des lieux urbanistique donc, pas plus que de nouvelle histoire de l’art. Le ton de Villissima se démarque du ton de (...)
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Le bambou gravé kanak
1er janvier 1993 -
Coffret OCÉANIE
1er janvier 1993 -
Portraits d’industrie
1er juin 2003Véritable voyage au cœur des collections du musée d’Histoire de Marseille, ces Portraits d’industrie retracent l’histoire économique et sociale d’une ville portuaire confrontée aux évolutions techniques et politiques des xixe et xxe siècles. Depuis les grandes filières qui fondent la révolution industrielle et s’adaptent aux pratiques contemporaines — savonnerie, huilerie, stéarinerie, tuilerie, briqueterie, métallurgie, minoterie, sucrerie, distillerie, tabacs et allumettes — jusqu’aux industries (...)
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Marseille Monuments
28 novembre 2019, par VaroujanDepuis sa fondation, il y a vingt-six siècles, Marseille n’a eu de cesse de se bâtir et de se reconstruire, effaçant parfois ses vestiges les plus anciens pour s’adapter aux exigences des époques successives. De ces jeux de l’histoire est issu un paysage urbain aussi composite qu’exceptionnel, où se côtoient sites antiques, églises médiévales, bastides, villas et bâtiments industriels. Choisies dans une collection unique en France, les aquarelles réunies dans cet ouvrage décrivent, avec une extrême (...)
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L’homme d’artifices
1er octobre 2006Parcours imagé dans l’œuvre réjouissante et poétique de « l’homme‑feu d’artifice ». Au fil d’entretiens l’artificier Pierre‑Alain Hubert raconte les origines de sa vocation, l’histoire de la pyrotechnie, l’évolution de sa carrière (depuis les années soixante-dix) et de son langage artistique très innovant qui l’inscrit comme une personnalité importante du spectacle vivant et pourquoi pas de « l’art contemporain » comme le pensait Pierre Restany.Ce livre très illustré détaille pas à pas les étapes de la (...)
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Topo-graphies
30 juin 2020, par Varoujan« Je me suis imposé une règle : remplir quarante doubles pages d’un carnet, sans repentir, produire un flux régulier d’images, de “visions”, tel le continuum de mots tracés sur le rouleau-parchemin de Sur la route de Kerouac, mais dans une immobilité tenace. Il s’agit de rester suffisamment longtemps sur un site pour capter toutes les subtilités du paysage, armé d’un feutre et d’un calepin. Les dessins surgissent des pages ouvertes, défilent comme une série d’instantanés de la ville, une empreinte urbaine (...)
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David Dellepiane
1er octobre 1999D’origine génoise, David Dellepiane (1866-1932) émigre en France en 1875, suit l’enseignement de l’école des Beaux-Arts et enrichit sa formation à Paris en fréquentant l’atelier de Jules Chéret où il côtoie les avant-gardes avec son contemporain Mucha. Dellepiane se familiarise ainsi avec les procédés de la lithographie, s’intéresse au japonisme, à l’Art nouveau et se laisse séduire par le pointillisme, trois courants artistiques majeurs qu’il intègre dans son esthétique.Cette première monographie regroupant (...)
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Les Fruits du matin
22 novembre 2018, par Varoujan« À la fin des années quatre-vingt, dans la boutique à l’enseigne des Fruits du matin dont j’étais le client au Caire j’ai appris, jour après jour, comment on nomme dans le parler égyptien les différentes espèces d’oranges, de mangues, de mandarines… que le marchand me présentait. Sur chacun des sacs de papier brun qu’il utilisait était imprimée la même composition : des mots calligraphiés et un motif “fruitier”, une grappe de raisin, une poire, des bananes... J’ai conservé ces sacs. Je me les suis appropriés. (...)