Empreinte d’une sensibilité singulière, l’architecture de Maurice Sauzet s’est construite en dehors, si ce n’est à rebours de la pensée moderniste. Son vocabulaire, en harmonie avec l’homme et le paysage, puise au contraire dans le registre évanescent des émotions et des perceptions ; une orientation fondatrice qu’il doit à sa découverte, très tôt dans sa carrière, de l’architecture traditionnelle japonaise et de l’esprit du bouddhisme zen.
Destiné à nourrir l’inspiration des architectes d’aujourd’hui, et (...)
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Architecture traditionnelle
Articles
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Habiter, Entre nature et émotion
24 juin 2022, par Varoujan -
Le Burundi
1er novembre 1986 -
La case obus
1er décembre 2003La case obus est cette forme architecturale si singulière qu’elle avait marqué André Gide lors de son séjour en Afrique dans les années vingt. Notées par tous les voyageurs et missionnaires comme formes inédites, ces architectures ont été attestées dans le Nord Cameroun et au Tchad où vivent les Musgums, peuple de pêcheurs et d’éleveurs de poneys. Véritable curiosité coloniale, elles ont suscité de nombreuses descriptions imagées : « poterie cuite par le soleil ardent », « pains de sucre », « coquille d’œuf (...)
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Des mondes oubliés
16 février 2017, par Varoujan« Les amoncellements telluriques des rochers des Mandara, les infinies platitudes herbeuses du Logone renferment plus qu’une vie de travail. C’est comme si ces géographies excessives me devenaient autrement plus compréhensibles… »
En près de cinquante ans passés au cœur du bassin du lac Tchad, le géographe Christian Seignobos a vu son terrain et son métier se métamorphoser. Nourri par ce parcours, cet ouvrage rassemble un vaste corpus de dessins et de textes originaux, comme autant de témoignages d’une (...) -
La maison kanak
1er octobre 1986 -
Les Pygmées d’Afrique centrale
1er mars 1984 -
Yertik
17 octobre, par VaroujanLe Yertik est un dispositif architectural original que l’on retrouve dans les maisons villageoises d’Arménie et sur les territoires de l’est de la Turquie. Il se compose d’une structure en bois à éléments croisés destinée à ménager une ouverture dans le toit pour permettre l’évacuation des fumées du four creusé au centre de la pièce. Cette structure, véritable constante de l’architecture arménienne, fut reprise dans les grands palais, puis dans les porches d’églises à partir des IXe-Xe siècles, ou dans des (...)
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Rives coloniales
1er septembre 1993
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